Pour faire naître un bébé, il est parfois nécessaire de faire une césarienne, programmée ou décidée en urgence en cas de complications. Les jours qui suivent l’intervention peuvent être difficiles. Il y a toutefois quelques conseils pour se rétablir le plus rapidement possible.
1- En acceptant toute l’aide dont vous avez besoin
Ne pensez pas que vous pourriez tout faire toute seule. L’accouchement par césarienne n’est pas différente de l’accouchement par la voie normale. Toute douleur diffère d’un corps à un autre. Si vous avez donc de l’aide, profitez-en. Cela peut provenir de la famille, d’êtres chers ou même des infirmières du service du travail et de l’accouchement.
2- Ne pas oublier de manger et de s’hydrater
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Parce que les nouveau-nés ont tendance à vous tenir éveillé, il est très facile d’oublier de manger et de s’hydrater. N’oubliez pas que vous ne pouvez donner le meilleur de vous-même que si vous prenez soin de vous. Pour les mères qui allaitent, votre nouveau-né dépend de vous pour manger correctement et boire les huit verres d’eau recommandés par jour. Vous vous sentirez beaucoup mieux et votre nouveau-né aussi.
3- Prenez les médicaments prescrits
En quittant l’hôpital, vous pourriez croire que tout va mieux, et une fois à la maison rechuter. Alors nous vous recommandons fortement de prendre les médicaments prescrits, mais pas l’oxycodone si vous n’y êtes pas obligée.
4- Vous ne savez pas tout et c’est normal
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Vous recevez des conseils et entendez des histoires d’autres mamans, mais rien ne peut vous préparer pleinement à VOTRE parcours en tant que maman. Chaque enfant est différent, donc votre expérience en tant que maman le sera aussi. Même si les expériences peuvent varier, il existe des livres et des blogs qui peuvent vous aider à vous y retrouver. Lorsque tout le reste échoue, le service de travail et d’accouchement de votre hôpital est ouvert 24 heures sur 24. N’hésitez pas à les appeler ou votre pédiatre.
5- C’est bon de pleurer
Le post-partum est réel la (période où la mère retrouve son état initial d’avant la grossesse) . La plupart des hôpitaux fourniront des informations sur les personnes à qui vous pouvez parler de ce que vous vivez. Selon votre niveau de post-partum, parler à vos proches ou tenir un journal peut être tout aussi utile. Plus important encore, il n’y a pas de mal à pleurer.
Colette Traore
