Vous aimeriez souvent adopter de jolis dos nus mais vous ne vous sentez pas à l’aise sans soutien-gorge ? Voici cinq solutions pour continuer à porter de la lingerie sans qu’aucune bretelle ni agrafe ne dépasse et ne vienne rompre le côté sexy de ces pièces mode.

1/ Les cache-tétons

Les cache-tetons sont parfaits pour empêcher la visibilité des tétons. Sous une robe ou un haut à dos nu, optez pour des cache-tétons en silicone qui masquent le bout des seins. Il suffit de placer ces pétales invisibles autocollants au niveau des tétons, et le tour est joué!

Lire aussi : Juliet Ehimuan: La stratège de Google en Afrique de l’Ouest…

2/ Le corset adhésif

Le corset adhésif offre un maxi effet push-up grâce à son lacet réglable sur le devant. Le dos, quant à lui, reste totalement dégagé et sans bretelles. Absolument magique !

3/ Le soutien-gorge transformable

C’est sans doute la meilleure solution pour apporter confort et maintien aux poitrines sans se passer de soutien. Le principe? Cette bande dos nu est ajustable et compatible avec la plupart des soutiens-gorge. Il suffit de faire le tour de la taille pour offrir une échancrure au niveau du dos.

4/ Les coques autocollantes

Lire aussi : Sport – Radhia Mukansanga, première femme à arbitrer une coupe du monde…

Il suffit de coller chacune des coques (en silicone ou en tissu) sur chaque sein et sur une peau propre, puis de les attacher entre elles grâce à la fermeture placée sur le devant. Si les coques autocollantes offrent un bon maintien et une belle tenue, il arrive toutefois qu’elles se décollent légèrement après plusieurs heures, surtout si vous transpirez. Astuce: lavez les coques à la main après chaque utilisation, avec un peu d’eau et du savon doux. Rincez-les et faites-les sécher à l’air libre.

5/ Le « no bra »

Meilleur maintien, diminution des douleurs dorsales, sensation de légèreté… Le « no bra » n’a que des avantages. Le tout, c’est de parvenir à s’affranchir de cette pression sociale qui semble encore peser sur les femmes qui décident de libérer leur poitrine.

Colette Traore

Partager cet article