L'influenceuse et businesswoman australienne Savannah Daisley de 48 ans est accusée d'avoir eu des rapports sexuels avec un adolescent à quatre reprises en 24 heures.
Selon la police, les faits se seraient produits entre le 19 et le 20 mai 2021.
En détention depuis le 27 Juin 2022, la dame d'affaires a comparu Jeudi dernier à la cour de Waverley, chargée de 4 chefs d'accusation d'abus sexuels aggravés avec un adolescent dont l'âge oscille entre 14 et 16 ans.
Son procès se poursuit le 23 Août prochain.
Notons que Savannah Daisley est la fille d'un célèbre éleveur de chevaux australien Ross Daisley.
Elle semblait entretenir une relation amoureuse avec l'adolescent, comme l'atteste une note vocale.
Carole G
Bienvenue au royaume de Kuba situé en république démocratique du Congo.
Dans ce royaume, principalement le peuple Lele, les femmes possèdent le droit d'épouser plusieurs hommes.
Elles ont aussi la possibilité de rompre toute relation qui ne leur convient plus sans être fustigées.
La jeune femme qui décide d'entrer dans ce type de relations polyandre est fiancée dès le bas âge à plusieurs prétendants.
Lorsqu'arrive le moment des noces, elle peut bénéficier d'une lune de miel de six mois à plus.
Cette lune de miel prolongée lui donne l'occasion de coucher librement avec ses époux autant qu'elle veut et quand elle le désire.
Cette épouse particulière appelée l'épouse du village est traitée comme une princesse et est exemptée de toutes tâches ménagères.
Elle n'a pas l'obligation de cuisiner. Ce sont plutôt ses belles-familles qui lui font la cuisine et la font porter par ses époux.
Cette société matriarcale est aux antipodes du système patriarcal présent dans plusieurs pays africains.
Carole G
En présence d'enfants, un accident est vite arrivé.
Un père de famille a fait les frais d'une arme à feu chargée et laissée à proximité de son enfant de 2 ans.
Les faits se sont déroulés en Floride aux États-Unis.
Le père détenait une arme à feu qu'il avait pris le soin de charger et l'avait posé au sol dans un sac à la maison.
Par mégarde, son jeune garçon de deux ans s'est emparé de l'engin destructeur et a visé dans le dos son père qui était installé au salon.
Jouant à un jeu vidéo, l'homme s'est écroulé comme une masse et est décédé avant l'arrivée des secours.
Sa fille aînée a déclaré à la police que le coup avait été porté par son petit frère.
Les autres membres de la fratrie se trouvaient dans la chambre au moment des faits.
Le défunt et sa femme étaient déjà dans le viseur de la justice pour des délits de négligence infantile et consommation de drogues.
Carole G
Sher Mohammad, un indien, résidant de l'état du Ketugram a commis l'irréparable par jalousie et complexe après que son épouse ait trouvé un emploi bien rémunéré.
Renu Khatun l'épouse avait trouvé un emploi d'infirmière dans un grand établissement sanitaire de la place pris en charge par l'état.
Elle s'était formée durant trois ans et devait maintenant faire montre de tout son savoir en exerçant ce métier.
Propriétaire d'une épicerie, son époux désapprouvait totalement l'idée que sa femme travaille.
Pour la dissuader d'y aller, il a coupé l'une de ses mains avec une violence extraordinaire avant de la mener dans un hôpital de la place pour des soins tout en cachant le reste du bras endommagé afin que les médecins n'aient pas l'idée de le replacer.
Après l'avoir emmené à l'hôpital, l'homme et sa famille ont pris la poudre d'escampette.
Revenue de son coma, la victime a narré les faits de son accident.
La police a plus tard découvert que l'homme avait agi par pure jalousie car il pensait que sa femme le quitterait dès qu'elle débuterait son service.
Carole G
Pardonner pour mieux vivre est ce que pense cette femme qui a non seulement pardonné à l'assassin de son mari il y a 28 ans, pendant le génocide rwandais, mais qui a permis à sa fille d'épouser son fils.
Elle s'appelle Bernadette Mukakabera. Elle et son mari Kabera Vedaste appartenaient à la communauté tutsie, qui a été prise pour cible après qu'un avion transportant le président rwandais d'ethnie hutue a été abattu le 6 avril 1994.
Dans les heures qui ont suivi, des milliers de Hutus, endoctrinés par des décennies de propagande haineuse, ont commencé à commettre des meurtres bien organisés, en s'en prenant à leurs voisins Tutsis dans tout le pays.
Parmi eux, Gratien Nyaminani, dont la famille vivait à côté de celle de Bernadette Mukakabera, dans l'ouest du Rwanda. Ils étaient tous deux agriculteurs.
Après la fin des massacres et la prise du pouvoir par un groupe rebelle tutsi, des centaines de milliers de personnes accusées d'avoir participé aux meurtres ont été arrêtées y compris Gratien Nyaminani, l'homme qui aurait tué l'époux de Bernadette.
En 2004, M. Gratien a raconté à Mme Bernadette comment il avait tué son mari et s'est excusé et lors de la même audience, elle a choisi de lui pardonner.
Il n'a donc pas eu à purger une peine de 19 ans de prison, mais une peine de deux ans de travaux d'intérêt général.
Après la mort du mari de Bernadette lors du génocide, la fille du meurtrier Gratien allait souvent aider la veuve à la maison pour réparer les dégâts causés par son père. C'est en ce moment qu'Alfred, fils de Bernadette est tombé amoureux.
Bernadette, touchée par les actions de la fille de Gratien n'a pas hésité à accepter l'union, convaincue qu'elle n'avait aucune rancune envers son père qui a autrefois arraché la vie à son époux.
Selon elle, les enfants n'ont rien à voir avec ce qui s'est passé. Ils sont simplement tombés amoureux et rien ne devrait empêcher les gens de s'aimer.
Alfred et Yankurije se sont mariés en 2008, 14 ans après le génocide.
Colette Traoré