Âgée de 41 ans et mère de cinq enfants dont quatre conçus naturellement, une femme a découvert avec stupeur que le dernier enfant de la fratrie, adopté, est en réalité le fruit des infidélités de son époux.

Suivons son histoire:

« Après avoir eu mes quatre premiers enfants, j’ai eu des problèmes de santé, ce qui rendait désormais impossible l’idée d’une autre grossesse. A l’époque, mon mari militaire était en mission à l’étranger. Il m’a proposé d’adopter un petit garçon originaire du pays où il se trouvait, et j’ai dit oui, il s’est donc occupé de toutes les démarches, et à son retour, nous étions les parents d’un petit garçon, Kalen. Tout le monde me disait qu’il n’avait pas l’air d’avoir été adopté tant la ressemblance était flagrante, et ça nous a toujours beaucoup fait rire.

Lire aussi : Reproduction – Accouchement : Huit astuces pour bien gérer les contractions…

Il y avait en réalité un lourd secret que j’ai découvert en voulant déplacer les documents concernant l’adoption de Kalen, dans le coffre fort. En relisant ces documents, j’ai réalisé que quelque chose ne tournait pas rond. J’ai donc fait faire un test d’ADN et là j’ai découvert que mon mari était le vrai père de l’enfant. Lorsque je l’ai confronté, il a tout avoué. Il m’a dit qu’il m’avait trompée, et que sa maîtresse ne voulait pas de cet enfant, raison pour laquelle il a organisé cette adoption. Cette découverte n’a pas changé l’amour que j’ai pour le petit garçon, mon fils.

Lire aussi : Dossier – Sept femmes africaines qui brassent des milliards…

Je l’aime de tout mon coeur et je serai toujours sa mère. Mais la trahison de mon mari ne passe pas. J’ai demandé le divorce, en dépit des suppliques de mon mari. Je ne peux pas lui pardonner cette trahison. Je ne sais pas comment annoncer la nouvelle à mes enfants, et certaines personnes de mon entourage m’ont accusée d’être égoïste en réagissant de la sorte et de briser ma famille. Puisque j’aime mon fils adoptif, ils estiment que j’aurais dû trouver une solution pour garder ma famille unie. »

Carole G

Partager cet article