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Accusé de sortir avec le « gar » d’une autre, elle se fait sévèrement tabasser et asperger d’un liquide inflammable.

Cette histoire fait le tour de la toile camerounaise. Une jeune fille se fait prendre au piège par la bande de copines de sa "rivale" En effet, selon une page camerounaise, 6 jeunes filles ont donné rendez-vous à une autre se faisant passer pour le petit ami de cette dernière. A son arrivée sur les lieux du rendez-vous, la jeune fille constate qu’elle venait de tomber dans un guet-apens. Il était trop tard ! La bande de filles l’a roué de coups, a déchiré ses vêtements, coupé ses cheveux avant de l’asperger de liquide inflammable, tout en prenant plaisir à filmer la scène. Ce sont les cries de la fille qui ont alerté le voisinage. Elle a immédiatement été conduite à l’hôpital. Mais malheureusement, elle a succombé à ses blessures. Annaëlle De Kriza

Guinée-Bissau : aux îles bijagos, ce sont les femmes qui « commandent »!

Selon les croyances populaires, l’homme serait maître de la femme et ce sur toute la planète. Ceci se révèle être totalement faux, car il existe des endroits dans ce monde, précisément en Afrique où ce sont les femmes qui règnent en maîtresse incontestée. C’est le cas des îles Bijagos. Bijagos est un archipel situé au large de la Guinée-Bissau et du Sénégal . Là-bas, se sont les femmes qui ont le pouvoir politique, économique et même spirituelle. Bijagos est composé de plus de 80 îles où vivent plus de 30.000 âmes. Une société complètement matriarcal ou l’héritage se transmet de mère en fille. Chez les Bijagos, les femmes possèdent la terre, construisent des maisons , contrôles l’agriculture…enfin, toute la vie sociale et culturelle ce dans tous les villages de cet archipel . Également, ce sont elles qui choisissent leurs maris. Dans la tradition bijagos, si un mari ne respecte pas sa femme, elle accroche ses affaires sur un bâton planté devant la maison. Elle acte ainsi la séparation. Aux îles bijagos, être une femme, c’est avoir le pouvoir ! Annaëlle De Kriza

Zharick Ramirez, une fille qui pleure du sang

Zharick est une jeune colombienne de 17ans qui saigne des yeux. Ces larmes de sang sont dus à une pathologie.

La jeune femme s’est confié à un confrère. Dans son récit, elle affirme que c’est lors de la pandémie de coronavirus en 2020 qu’elle a commencé par avoir des signes de cette maladie qui la fait saigner des yeux, mais pas que.

« Depuis 2020, j’ai commencé à avoir des saignements nasaux, puis c’était oculaire et maintenant aussi je saigne de la bouche » a-t-elle révélé

Selon un spécialiste, il s’agirait d’une "menstruation par procuration"

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« Cela arrive aux femmes lorsque le tissu de l’endomètre n’est pas seulement dans l’endomètre mais se retrouve dans d’autre partie du corps. Dans ce cas le tissu est conjonctival. Provoquant des saignements sous-conjonctival » explique le docteur.

Malheureusement cette maladie affecte négativement la vie de l’adolescente. Elle est fréquemment victime de railleries . On lui a aime demander d’arrêter ses études à cause de sa condition.

Désespéré, elle demande de l’aide car Jusqu’à présent aucun médecin n’a pu lui trouver une solution malgré les tests réalisés.

Annaëlle De Kriza

Les WÊ: le peuple de la Côte d’Ivoire qui pratique une danse aux couteaux

La danse aux couteaux en pays wê est une danse ancestrale qui perdure, transmise de génération en génération.

Elle est exécutée par des jeunes filles qui ont généralement entre 8 et 12. Jamais plus. Cette danse est un mélange de contorsions, de figures acrobatiques et de mystère. Elle est le résultat d’une longue période d’initiation. A part les fillettes, ont retrouve le chef de la troupe qui s’occupe des esprits, et son second qui fait exécuter les pas de danse.

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Pendant une représentation , les fillettes toutes muettes, sont projetées dans les airs où elles font des figures acrobatiques avant d’atterrir sur des couteaux. Mais jamais elles ne se blessent .

La danse aux couteaux est une danse de réjouissances dont seule les Wê en ont le secret.

Annaëlle De Kriza

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Un sosie de Kim Kardashian meurt lors d'une opération de chirurgie pour avoir voulu lui ressembler

Christina Ashten Gourkani, mannequin et sosie de la star américaine Kim Kardashian est décédée ce jour après un énième passage sur le billard qui aurait mal tourné. En effet, son ambition démesurée pour ressembler à la star de télé réalité Kim Kardashian lui a malheureusement coûté la vie.

Kim Kardashian est une icône de beauté pour de nombreuses personnes aux États-Unis et toutes rêvent de lui ressembler. Parmi elles Christina Ashten Gourkani.

Christina Ashten, pour ressembler à son idole a réalisé une douzaine d'opérations en un an. Malheureusement, cette fois-ci sera la dernière. Elle meurt d'une crise cardiaque, à seulement 34 ans, lors d'une nouvelle opération de chirurgie plastique.

La mort de la défunte a été divulguée sur GoFundMe par sa famille, qui dit avoir reçu un appel la semaine dernière d'un autre membre de la famille, criant frénétiquement qu'elle était en train de mourir. L’entourage est immédiatement arrivé à l'hôpital où on leur a annoncé qu’elle a subi un arrêt cardiaque et n'avait pas survécu.

Une collecte de fonds a été ouverte, son entourage souhaite atteindre un objectif de 40 000 dollars pour le mémorial de Christina.

Colette Traoré