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Rdc : Une femme raconte l’enfer qu’a été sa vie

Charlotte ( nom d’emprunt) est une jeune femme de plus de 30 ans à qui la vie n’a pas fait de cadeau. Mais en femme courageuse, elle a décidé de se confier sur les violences basées sur le genre qu’elle a subit depuis son adolescence.

Charlotte a perdu ses parents dans un accident de la circulation. Elle ensuite été placée en famille d’accueil. Malheureusement le père de cette famille d’accueil sensé lui apporter la protection d’un père s’est mise à la courtiser quelque temps seulement après son arrivée dans la famille.

« quelque temps après, celui que je considérai comme mon père avait commencé à me faire la cour et cherchait à tout prix à c**cher avec moi » déclare t-elle.

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Et d’ajouter :

« Je ne pouvais pas rester dans cette maison vu que le mari de la maman qui m’avait amené chez elle me harcelait. Alors, j’avais opté pour la fuite cela, en complicité avec ma mère adoptive. Pour ma sécurité, elle m’avait convaincu de me mettre en couple. Pour elle, le mariage était le seul moyen de fuir les avances de son mari et cela garantissait mon avenir vu que mes parents biologiques n’étaient plus de ce monde. J’ai cru en elle or, c’était son plan de me vendre pour bénéficier de la dot. A l’époque je n’avais que 17 ans J’ai accepté par peur. »

Après son mariage, les choses ne sont pas passées comme prévu, car elle perd son mari et se retrouve encore toute seule. Charlotte décide alors d’aller vivre à Kinshasa.

« Mon billet, j’ai pu en acheter grâce aux cotisations des personnes de bonne foi. Et là, c’était en 2005, une fois arrivée à Kinshasa, dans un premier temps, j’ai été aidée par des religieuses d’une Congrégation de la place. J’ai pu m’y installer » affirme la jeune dame.

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Elle continue sont récit au bord des larmes et ajoute: « En 2018, les bandits sont entrés chez moi, ils m’ont violé en présence de mes enfants. Imagine ! 4 hommes m’ont laissé nue devant mes deux fils et chacun à son tour »

Aujourd’hui, charlotte est une femme détruite qui n’arrive plus à soutenir le regard de ses deux, à cause de la honte d’avoir été v*olé en leur présence. Cependant, elle fait de son mieux pour leurs apporter ce dont ils ont besoin car, elle est là seule personne qu’ils ont dans ce monde.

« Ce viol avait réveillé le mauvais souvenir de mon enfance. J’ai envie de me séparer de mes enfants mais je me dis toujours que seront-ils sans moi ? » s’interroge la mère.

Redevenue femme après un changement de sexe, j'ai détruit mon corps, pensant que ça irait mieux

Je m'appelle Mila, et j'ai 26 ans. Il y a quelques années, je m'étais transformée en homme. Mais aujourd'hui je suis redevenue une femme. Oui ! J'ai définitivement décidé de tourner la page de la transidentité. Malheureusement, mon inconscience m'a laissée des séquelles.

Je n’ai plus de seins. Je n’ai plus d’utérus. Je n’ai plus d’ovaires. Je dois dealer avec les conséquences désastreuses de ma transition. Tout cela a commencé lorsque j'étais au Collège. Encore adolescente, j'étais attirée par les filles. Mais être une fille qui en aime une autre me mettait mal à l'aise. J'ai donc conclu que j'étais destinée à être un garçon. Arrivée à Paris, je me suis tournée vers des associations trans qui m'ont conseillée un médecin complaisant qui délivre des ordonnances de testostérones sans poser trop de questions.

À 18 ans, j'ai fait ma première piqûre d’hormones. Et pendant quelques années cela me suffisait, car mon corps se métamorphosait rapidement. Ma voix devenait grave, mon corps velu comme un ours et mon visage et mes épaules s’épaississaient. Et puis peu à peu, je ne supportais plus mon corps. Mon sexe, mes seins me dérangeaient. Avec la “testo”, j’ai pris du poids et un début de ventre est apparu. Je suis devenue obsessionnelle, je comptais toutes mes calories. J’étais au bord de l’anorexie. À 21 ans, j'ai subi une hystérectomie pour me débarrasser des douleurs gynécologiques et faciliter mon changement de sexe. Après, j'ai subi une mammectomie (ablation des seins) et un an plus tard, mon dernier lien avec la féminité était rompu.

Le gros deuil, était de me rendre compte que les médecins m’avaient stérilisée et que j’avais ruiné mon corps.

Colette Traore

Victime de violences conjugales ? Voici comment s'en sortir

Sortir des violences conjugales est possible et pour y parvenir vous retrouverez ici des étapes à suivre afin de guider votre cheminement de la meilleure façon.

Étape n°1 : identifier les signes de la violence dans le couple

Parvenir à identifier les signes de violence conjugale constitue une première étape afin de prendre conscience du danger vécu au sein du couple. Ce travail permet de conscientiser la situation et vous aidera à l’admettre. C’est donc le début du cheminement pour vous sortir de l’enfer des violences que vous subissez.

Étape n°2 : comprendre les mécanismes psychologiques dans les violences conjugales

Les violences conjugales répondent à de nombreuses mécaniques qu’il est nécessaire d’identifier pour faciliter la séparation avec le conjoint abusif. En effet, les connaître favorise la compréhension de certains de vos fonctionnements ainsi que la prise de conscience de la situation.

Étape n°3 : Briser l’isolement instauré par le conjoint violent en se confiant

Parler est essentiel pour réussir à fuir les violences dans le couple. Entourage familial, amis, collègues : exprimer votre vécu vous apportera un immense soulagement. S’assurer du soutien est important, notamment si vous envisagez de quitter le foyer ou de rompre.

Étape n°4 : déclarer et faire constater les violences

La quatrième étape pour sortir des violences conjugales est de constituer un dossier contre la femme ou le mari violent, afin de faire constater les sévices. Quelle que soit votre décision (partir, vous séparer ou rester), les preuves contre votre partenaire vous permettront d’obtenir une meilleure protection.

Étape n°5 : Prévoir un plan de sortie du foyer conjugal

Vous avez le droit de partir si votre conjoint est violent. Quitter la personne est une nouvelle étape pour s’échapper des violences de couple dont vous êtes victime. Que vous viviez ou pas avec la personne, il est crucial de penser à des mesures en amont de votre départ, pour vous, mais également pour vos enfants si vous en avez.

Étape n°6 : prendre soin de soi et se reconstruire après les violences du conjoint

Se reconstruire après une relation d’emprise et de violence fait intégralement partie du cheminement pour sortir définitivement de cet enfer. Vous avez réussi à faire le plus dur en quittant le foyer ou en coupant les ponts avec votre ancien partenaire. Lorsque vous serez prête, il sera temps de prendre soin de vous.

Colette Traoré

Orgasme : essayez ces étapes et voyez votre vie changer positivement

Atteindre l'orgasme est une partie naturelle et essentielle de l'intimité sexuelle pour les hommes et les femmes. Cependant, le chemin vers l'orgasme peut être différent pour chaque sexe. Dans cet article, nous explorerons les facteurs physiologiques et psychologiques qui jouent un rôle dans l'atteinte de l'orgasme chez les hommes et les femmes.

Comprendre votre corps

La première étape pour atteindre l'orgasme est de comprendre votre corps. Explorez votre propre anatomie et apprenez ce qui vous fait du bien.

Communiquer

La communication avec votre partenaire est une réalisation importante du plaisir sexuel complet. Faites-leur savoir ce qui est bon et ce qui ne l'est pas. N'ayez pas peur de les guider ou de leur demander de changer leurs styles sexuels. Essayez ceci et vous voudrez probablement savoir comment rester ainsi.

Se calmer

Une erreur que font les partenaires est leur anxiété, bien c'est peut-être la première fois, ou même l'aventure de leur montrer quelle force vous avez, mais au moment où votre anxiété s'installe, le moment où votre ''Envie de faire l'affaire'' ' s'empare de vous, vous n'atteindrez probablement pas le plein plaisir. Au lieu de cela, détendez-vous et calmez-vous.

Essayer quelque chose de nouveau

Il existe de nombreuses techniques et positions différentes qui peuvent vous aider à atteindre l'orgasme. Expérimentez et trouvez ce qui vous convient le mieux.

Préliminaires

Les préliminaires sont importants pour les hommes comme pour les femmes. Il aide à augmenter l'excitation et peut conduire à des orgasmes plus intenses. Passez du temps à vous embrasser, à vous toucher et à explorer le corps de l'autre.

Colette Traoré

Pourquoi le nez grossit-il pendant la grossesse ?

Lorsqu’une femme est enceinte, son corps subit de nombreux changements. En fonction des personnes, certains peuvent s’avérer très visibles, notamment le nez qui prend énormément de volume. Pourquoi ? On vous dit tout.

Un nez qui prend du volume et change de forme lors de la grossesse est dû à l'augmentation significative, durant la grossesse, des niveaux d'hormones, en particulier les œstrogènes. Ces derniers provoquent une dilatation des vaisseaux sanguins dans tout l'organisme. Conséquence : davantage de sang pénètre dans les tissus du nez, qui se dilate et change de forme, paraissant plus gros et plus gonflé.

Mais sans inquiétude aucune, ce phénomène, est temporaire et disparaît généralement six semaines après l'accouchement. Mais savez-vous que l'augmentation de volume de votre nez n'est pas le seul changement que votre corps peut subir lorsque vous attendez un enfant? En voici quelques autres.

- Un cœur plus gros

Le cœur subit lui aussi un certain nombre de modifications au cours de la grossesse, afin de s'adapter à la croissance du bébé.

- Changement de couleur de peau

La peau de certaines femmes aurait un éclat plus lumineux lorsqu'elles sont enceintes. Mais d'autres, au contraire, souffrent d'une affection connue sous le nom de mélasma, qui provoque un assombrissement de la peau autour des yeux, du nez, du menton et de la lèvre supérieure. Cette hyperpigmentation est le plus souvent due à une surproduction de mélanine.

- Pousse ou perte de cheveux

Les cheveux de nombreuses femmes enceintes poussent plus et paraissent en meilleure santé pendant la grossesse. Par contre, certaines femmes enceintes constatent qu'elles ont plutôt tendance à perdre leurs cheveux pendant la grossesse. Cette situation est généralement le résultat du « choc » que produit la grossesse sur leur organisme

Colette Traoré