Une grossesse tardive présente certains risque pour la mère et l’enfant. Il est donc très important d’être informé sur la question et surtout d’avoir un suivi médical adéquat.
Selon un gynécologue suivi sur Instagram par plus de 300.000 personnes, les grossesses après 40ans sont appelées grossesses tardives et non grossesse gériatriques.
Ainsi, dans sa vidéo, le spécialiste rappelle que les grossesses tardives présentent des particularités et des risques accrus. Elles peuvent être plus dangereuses pour la mère, avec un risque accru de diabète gestationnel, d’hypertension artérielle, d’anomalies d’insertion du placenta, d’hémorragies de la délivrance et de césariennes.
De plus, elles comportent également des risques plus élevés pour le bébé, tels que des anomalies chromosomiques comme la trisomie 21, des malformations, des accouchements prématurés et des faibles poids à la naissance.
Cependant, il est important de noter que ces risques ne sont pas inévitables !
par ailleurs , avec un suivi médical rigoureux, comprenant des examens complémentaires nécessaires, il est possible de minimiser ces risques.
Le véritable danger réside alors dans la possibilité que la grossesse ne soit pas viable ou qu’elle se termine prématurément.
En effet, la fertilité féminine diminue progressivement après 35 ans, car les ovules deviennent moins nombreux et moins viables.
Après 40 ans, les chances de conception sont réduites à moins de 50% (contre 75% à 30 ans).
Le risque de fausse couche précoce est de 30% après 40 ans, et il augmente même à 40% après 45 ans.
ainsi donc, pour plus de chance, la fécondation in vitro (FIV) reste une option
Annaelle De kriza
